Mondoblog : Je partagerai des idées neuves mais pas définitives sur l’Afrique afin de susciter l’espoir
logo de Mondoblog. crédit photo: le blog de Behem
Après une tentative ratée l’année dernière, cette année a été la bonne. Je me suis présenté avec succès au concours Mondoblog 2013. Je fais désormais partie de cette grande famille. On les appelle mondoblogueurs mais je les appelle « génération 2.0 » . Heureux, je le suis. Voici quelques mots qui traduisent mes idées phares ce dont il sera question sur ce blog.
Le savoir : le savoir sur l’Afrique et la monde c’est-à-dire la connaissance et la production des idées neuves sur le continent dans le monde. Parler de savoir ou produire le savoir pour comprendre les sociétés et proposer des réponses aux questions qu’elles se posent. En ce sens, l’Afrique en a grand besoin si elle veut s’inscrire de manière originale dans le futur.
Le partage : à quoi sert le savoir s’il n’est pas partagé et mis au service du plus grand nombre ? Dans l’optique de combattre l’ignorance mais surtout d’éveiller les consciences. Les uns et les autres pourront ainsi se faire une idée de la réalité et envisager des perspectives pour le futur. Le partage revêt aussi une dimension culturelle qui invite au partage des singularités qu’on pourrait aussi appeler dialogue interculturel.
Les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) : les TIC sont la grande innovation de notre temps. Elles permettent aux jeunes du monde de se définir une nouvelle identité à savoir l’identité numérique et de la surveiller. Le développement de l’Afrique se fera avec les TIC ou il ne se fera jamais. C’est le lieu par excellence du partage du savoir.
L’Afrique : c’est le continent qui m’a vu naître, qui m’a bercé et me voit grandir. C’est un continent complexe parce qu’il est riche- pauvre. Riche en matières premières, en idées et en atouts divers avec notamment une population jeune et dynamique. Pauvre parce que les populations ne bénéficient pas du fruit de cette richesse. Les conditions de vies sont mauvaises. Les rêves se noient le plus souvent dans un océan de désespoir.
Je partagerai des idées neuves (notes) mais pas définitives sur l’Afrique afin de susciter de l’espoir et montrer que, malgré tout, il faut croire et se donner les moyens de bousculer les certitudes jusque-là établies.
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